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site de Roland Goeller
29 août 2015

« Le visiteur », nouvelle publiée dans la revue "les Hésitations d'une mouche", numéro 74

hesitation_mouche_74

 

Une nouvelle Nouvelle publiée: LE VISITEUR,

auteur: Roland Goeller,

dans le numéro 74 de la revue de littérature, sise à 33400, Ambarès, en Gironde: Les Hésitations d'une Mouche,

 

revue que je remercie pour la confiance qu'elle m'accorde et la place qu'elle me fait dans ses pages.

 

LE VISITEUR à vrai dire est une nouvelle écrite il y a quelques années déjà, à laquelle  j'ai éprouvé le besoin de donner une forme que j'espère plus aboutie. Le sujet en est onirique et noir, et il ne saurait être macabre qu'aux yeux de ceux qui rêvent d'immortalité bionique et technologique. Pour nous autres qui pensons l'immortalité à la manière des grecs de l'antiquité, à la manière d'Homère dont les chants ont porté les exploits d'Achille à travers les siècles, il n'y a là rien que de très naturel.

Qu'on en juge à travers cet extrait:

 

"Voulez-vous que je revienne un peu plus tard, me demanda-t-il en éludant ma question, comme à un enfant qu'il s'agirait de rassurer? Combien de temps vous faut-il pour terminer ce que vous êtes en train de faire? J'étais déconcerté, à la fois par ses questions et par mon incapacité à me révolter contre sa présence si imposante. Combien de temps il me faut, parvins-je à ânnoner, comme si je demandais un délai de réflexion. Oui, combien de temps, s'empressa-t-il de confirmer. Sa patiente insistance me laissa perplexe. cet homme m'invitait à quelque chose qu'il n'avait pas précisé et semblait disposé à m'accorder tous les délais dont je pourrais avoir besoin. Je ne sais pas, me contentai-je de répondre, une heure, peut-être plus ..."

 

Le numéro 74 (et les précédents) sont disponibles auprès de l'association, 

http://hesitations-mouche.pagesperso-orange.fr/index.html,

au prix de 2€ le numéro.

Les revues de littératures, telles LES HESITATIONS D'UNE MOUCHE, sont portées par des bénévoles dont le seul péché est d'aimer la littérature et d'y consacrer leurs forces vives. Ces revues ne bénéficient ni de subventions publiques ni d'exposition médiatique. Nulle banque ou multinationale ne leur propose de page publicitaire généreusement rémunérée. Elles n'ont en général d'autres ressources que le prix de vente que ses lecteurs sont disposés à acquitter. Leurs noms en revanche sont régulièrement invoqués lorsque la puissance publique feint une contrition face à l'hégémonie de THE VOICE.

 

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